Dans une petite ville du Berry, écrasée par la chaleur de l'été, en 1919, un héros de la guerre est retenu prisonnier au fond d'une caserne déserte. Source : Gallimard |
Les goûts, les couleurs, tout est " affaire de
goût "
La Semaine du Goût pour moi c'est toute l'année
et j’aimerais vous faire partager
ma passion des bonnes choses et parler
des gens qui ont l’amour et la passion de leur métier.
Bonne découverte. Jacmetron
N’oubliez pas,
la première impression est souvent la bonne,
surtout si elle est mauvaise.
Cher visiteur du site, vous avez une suggestion
ou une bonne adresse que vous aimeriez retrouver ici
contactez-moi par le lien ci dessus.
Merci d’avance.
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Petit lexique de savoir-boire à l'usage des
agueusiques, des geeks et des non-comprenants |
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Trois champions français de l’huile de noix récompensés au Concours général agricole 2012 Les noyers constituent le second verger de France après les pommiers Le palmarès du Concours général agricole livre ces jours ci, ses dernières cuvées de produits médaillés. Entre tous les piments d’Espelette, les vins, les huiles d’olive, les vanilles, les cidres, les bières, les huîtres… que vous retrouverez cités sur le site du concours, je ne résiste pas à l’envie de mentionner les huiles de noix. Noix et huile de noix du Périgord ont une appellation d'origine contrôlée Promue par David Servan Schreiber dans son livre Guérir. € |
Dans une petite ville du Berry, écrasée par la chaleur de l'été, en 1919, un héros de la guerre est retenu prisonnier au fond d'une caserne déserte. Source : Gallimard |
Un livre bouleversant !!! |
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Notre agriculture coûte cher, le budget de la PAC atteint 57 milliards d'euros en 2010, soit 44 % du budget de l'Union ; elle est gourmande en pesticides, pollue nos cours d'eau, sacrifie les paysans et propose au consommateur des produits médiocres. Pendant deux ans, Isabelle Saporta a sillonné la France, frappé à la porte des agriculteurs, des éleveurs, des industriels et des ingénieurs agronomes." " La faute aux paysans ?" Non. "Isabelle Saporta verrait plutôt du côté des politiques et du productivisme à outrance. " En France, des petits agriculteurs ont relancé, ici, la culture du lin et du lupin, là, les vergers biologiques, créateurs d'emplois. EXTRAITS |
Une vie de cochon. Trois mois, trois semaines et trois jours plus tard, les porcelets naissent. Tous le même jour ? Oui, par le miracle des injections d'œstrogènes. Ainsi que des piqûres d'ocytocine grâce auxquelles les contractions et les montées de lait se déclenchent comme par magie. Pour ne pas freiner la cadence, on leur donne une bonne dose de spasmolytique et de vasoconstricteur. Mais cela ne dispense pas de la fouille. Car, désormais, les portées comptent 18 à 19 porcelets. (...) Dix-neuf porcelets? Mais une truie n'a que dix tétines ! Bienheureusement, le génie génétique est passé par là, et la femelle en aligne fièrement entre 14 et 16... (...) Pour s'assurer que les précieuses tétines ne s'infectent pas, on donne préventivement aux truies une bonne dose d'antibiotiques et d'anti-inflammatoires. Pas de temps à perdre avec des mammites (inflammations des mamelles). |
Photo : aujardin.info
De l'azote pour faire du blé. Le blé meunier est rémunéré à sa teneur en protéines. Du coup, pour qu'il pousse vite et surtout pour qu'il soit bien chargé en protéines, les agriculteurs chargent la mule avec de l'azote (...). Problème : quand on répand trop d'azote au pied du plant de blé, il verse, tombe par terre, car la tige, trop haute, ne supporte pas la charge de grains, et la récolte en pâtit. Mais que faire alors ? Réduire les doses d'azote, peut-être ? Mauvaise idée : cela risquerait de diminuer les rendements et les teneurs en protéines. Heureusement, l'imagination fertile des fabricants de produits phytosanitaires a trouvé la solution. Les raccourcisseurs : des produits chimiques qui fonctionnent comme des hormones et rendent le plant de blé nain. En gros, on peut asperger le plant de blé d'azote puisque, grâce au miracle des raccourcisseurs, il ne grandira pas. |
La tomate de Kafka. Chaleur, humidité, pas assez de soleil, ça fait peu pousser les tomates à contre-saison et en Bretagne, mais ça fait également pousser les champignons... Pour pouvoir cultiver des tomates en hiver, sous des serres surchauffées, et éviter des champignons, on va gaver les plantes d'azote, qui pollue pourtant déjà largement nos nappes phréatiques. Bref, la solution vient de la super-tomate super-enrichie en vitamine C et en lycopène. |
Patate chimique. Pour maintenir le rendement, toutes les patates doivent être arrachées le même jour. La seule solution : l'herbicide. Même pour les Rolls des pommes de terre, les jolies primeurs. Pourquoi ? Le défanage chimique, on fait ça pour endurcir la peau de la pomme de terre primeur. Qui du coup va supporter d'être lavée. (...) On est donc obligé de défaner chimiquement les pommes de terre parce que le consommateur, notamment parisien, n'achètera pas de patates qui ne soient parfaitement lavées et rutilantes. Absurde. D'autant que la patate lavée se conserve bien moins longtemps que sa consœur terreuse. |
Si Candide voyageait sur nos terres, il serait saisi d'effroi. Il chercherait les champs aux couleurs bigarrées, fleuris de colza, sorgho et autres petits pois, les veaux, vaches, cochons qui s'ébrouent sur la paille et gambadent en plein air, les boulangers qui pétrissent le pain... Il aurait beau chercher, il ne trouverait pas. Car, dans le monde de l'élevage intensif, les porcs, gavés aux hormones et aux antibiotiques et confinés sur caillebotis, dépriment dans leurs déjections ; les tomates sous perfusion chimique transpirent, onze mois sur douze, dans des usines à gaz ; les pommes de terre industrielles, parfaitement calibrées et dopées aux anti-germinatifs, sont stockées dans des frigos énergivores ; les champs de maïs, arrosés aux aides européennes, à l'irrigation intensive et aux pesticides interdits, prolifèrent comme des champignons. La liste est longue, le constat édifiant Isabelle Saporta |
Les français sont si fiers de leurs vins qu’ils ont donnés à certaines de leurs villes le nom d’un grand cru. Oscar Wilde
A lire sans modération Très beau petit livre de citations sur le vin. Merci Vivien. |
Catherine, la maman de Valentine et Laurette nous a fait découvrir Oxiseau, très beau livre pour enfants et grandes personnes.
Dans Oxiseau, il y a des dizaines de volets à soulever, des volets en plumes ou en forme d’œufs, un méli-mélo de becs, de plumes, et de pattes.
Ce sont les volatiles qui sont à l’honneur dans ce nouvel ouvrage qui fait suite à Axinamu. |
Connaissez vous la revue " XXI " ?
Cette revue existe depuis trois an et n'est disponible que par abonnement ou en librairie. Le numéro 13 HIVER 2011 vient de sortir
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Pour commencer on est surpris par l’objet car cette édition est pratiquement dans un format bande dessinée et ressemble plus à un livre qu’a une revue. Ensuite le contenu est aussi déroutant, puisque, il n’y pas vraiment de journaliste pour écrire les articles ni de ligne éditoriale qui colle à l’actualité comme la plupart de nos journaux ou hebdomadaires En début d’ouvrage il y quelques documents qui traitent de l’info le reste est fait de reportages. Cela pourrait ressembler a des documentaires télévisés, écrits par des auteurs pas forcément connus, où tous les textes sont accompagnés d’illustrations. Le dernier reportage est sous forme de BD et a chaque fin de numéro, tous les auteurs et illustrateurs sont présentés. Dernier point très sympa, à chaque fin de reportage, vous trouverez une bibliographie et plusieurs possibilités d’approfondir le sujet que vous venez de lire si vous le souhaitez. Un ami « bloguer » m’a fait découvrir cette revue que je trouve vraiment bien réalisée et apparemment vu le courrier des lecteurs qui figure en début d’ouvrage je ne suis pas le seul à être accro. |
Le Pygmalion idéal, en matière de gastronomie, ce devrait être le père ou la mère L’apprentissage commence à la bouillie bien faite . Pour un restaurateur, quoi de plus réjouissant qu’un père ou une mère qui conduit son enfant au restaurant ? Quand je dis « son enfant « , j’entends un jeune adolescent de dix à quatorze ans, car amener des enfants plus jeunes ne me semble pas une preuve de tact et d’amour à leur égard . C’est sûrement au moment du grand moment du changement physiologique et psychologique, que le jeune adolescent devrait, invité par ses parents, se rendre pour la première fois au restaurant. C’est au moment du changement radical que devrait commencer la véritable éducation gastronomique.
J.P. COFFE Gourmandise au singulier Édition Le Signe 1979
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Depuis très longtemps j’ai toujours chercher à
connaître qui était derrière le produit que j'achète.
Je fais des kilomètres pour
- Acheter mon pain à Dijon, pain de mon ami Arnaud Marin
de Sacquenay Côte d’Or boulangerie « Les Champs du Destin »
- Aller chez Pierre Overnoy, Manu, Adeline et Aurélien Houillon
mes amis de Pupillin .
- Aller chez Phillipe Bouvret dans son beau magasin ESSENCIA
de Poligny pour les vins de Jean François Ganevat de Rotalier
- Aller chez mon ami Jacques Volatier pour le jambon blanc
et toute la charcuterie à La Ferme des Levées
sur la montagne de Beaune,
- Commander des andouillettes AAAA chez Thierry à
Sainte Savine près de Troyes.
Champion de France de la Véritable andouillette.
- J’aime bien aussi aller chez Croc Nature à Serres les Sapins
pour toute l’épicerie, condiments et produits frais « bio » .
La suite de ma recherche des bonnes choses au fil des nouvelles pages.