Ne faîtes pas aux truies ce que vous ne voulez pas qu’on vous fît. Lépicurien vous a transportés à Rome en compagnie de Trimalcion. Si les Gaulois avaient un faible pour les
sangliers, selon Astérix, les Romains préféraient le cochon. Et sur les tables les plus raffinées de Rome, un met de choix était régulièrement servi. C’est la vulve de truie farcie.
Pline dans son Histoire Naturelle rapporte qu’il préfère celles prélevées sur des truies qui n’ont eu qu’une portée alors que d’autres les préfèrent lorsque la cochonne a mis bas
plusieurs fois. Pour certains, seule une truie nullipare[1] peut donner du plaisir (si j’ose dire).
Petit lexique de savoir-boire à l'usage des
agueusiques, des geeks et des non-comprenants Ce petit lexique de savoir boire est probablement aussi superflu qu'un dictionnaire destiné à l'élite
et aux bien nantis.Mais il ravira sans aucun doute tous ceux qui ont perdu l'usage de leurs papilles ou de leur cerveau, ainsi que ceux qui suivent, de près ou de loin, les
gesticulations du petit monde du vin sur l'internet. Les costumes sont en tweed et les décors sont de Roger Hart Desproges (les photos ont été prises lors de sa tournée
d'adieu).
Trois champions français de l’huile de noix récompensés
au Concours général agricole 2012
Les noyers constituent le second verger de France après les pommiers Le palmarès du Concours
général agricole livre ces jours ci, ses dernières cuvées de produits médaillés. Entre tous les piments d’Espelette, les vins, les huiles d’olive, les vanilles, les cidres,
les bières, les huîtres… que vous retrouverez cités sur le site du concours, je ne résiste pas à l’envie de mentionner les huiles de noix.
Noix et huile de noix du Périgord ont une appellation d'origine contrôlée
Promue par David Servan Schreiber dans son livre Guérir.
http://www.affaire-de-gout.com/article-20779774.html
Jean-Pierre Coffe, né le 24 mars 1938 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle) et mort le 29 mars 2016 à Lanneray (Eure-et-Loir), est un animateur de radio et de télévision, critique gastronomique, écrivain,...
Dans le temps, on parlait des magasins qui recevaient mal les clients, maintenant on remarque les magasins où on vous dit bonjour et dont le personnel est souriant. Le magasin Biocoop Terres-bio route d’Ahuy à DIJON est de ceux-là. Ici, l’équipe est souriante,...
réservez au 03 80 85 54 16 ouvert le midi tous les jours de la semaine et les jeudis, vendredis et samedis soir. fermé le dimanche et le lundi. Sur les conseils de Daniel C. nous sommes allés déjeuner dans ce nouveau restaurant. A Fontaine Française,...
TARTES & TRALALA Un accueil très agréable, frais, bon, fait maison, rapport qualité prix très bon.
La tarte du jour
Tartes et crumbles salés - gratins. Fondant au chocolat et café gourmand - Des tartes différentes toutes les semaines - Formule tarte...
GUIDE MICHELIN 2015 Au cœur du village, cette ancienne épicerie est devenue une auberge traditionnelle des plus séduisantes ! Tables au coude-à-coude, nappes Vichy, aperçu sur les cuisines où s'affaire le sympathique patron... Et dans l'assiette, la tradition:...
A proximité du hameau d'Echarnant, Anne et Jacques VOLATIER élèvent 180 cochons en plein air, dans des grands parcs aménagés, permettant la visite. Les animaux sont abattus entre 9 et 12 mois, après une croissance contrôlée et non poussée, garantissant une viande de qualité.
EN BIO DEPUIS 2010
Ouvert toute l'année, le mardi et le mercredi de 15h à 19h, le vendredi ,
ou sur rendez-vous. Egalement présent tous lesvendredi au MARCHE DE DIJON
En ballade dans le Jura, nous somment passé devant l'escargotière Bonvalot au Petit Mercey,
C’est ici qu’Anne Catherine Bonvalot, élève et cuisine ses escargots fermiers, dans de grands parcs en plein air, pour leur donner toutes les saveurs de leur pâturage
une flore naturelle et sauvage constituée de graminées, de trèfle, d’oseille, de chardons et d’orties.
Nés au début du printemps dans la ferme du Petit-Mercey, les escargots « gros gris » (Hélix aspersa maxima) vont recevoir tout au long de leur croissance un arrosage régulier, ainsi qu’une alimentation naturelle constituée exclusivement d’un apport végétal et calcique.
horaire : août 2012
Sur rendez vous mais plutôt en fin d'après midi de 16 h à 18 h
2 Grande Rue 39600 CRAMANS - Tél. : 03 84 37 73 42
La ferme Le Lopin du Goût est située, à Cramans dans le Jura près de la Saline Royale d'Arc et Senans.
Jean Marc et Sandrine Bonvalotsont éleveurs de chèvres et ...d'escargots! Ce sont des chèvres poitevines aux longs poils, très câlines et très coquines.
Depuis 20 ans maintenant Jean Marc élève des escargots et depuis 2 ans sa femme Sandrine élève des chèvres.
C’est un élevage d'escargots gros gris (hélix aspersa maxima).
En début d'année ils réveillent les reproducteurs qui vont pondre des œufs. Puis ces œufs devenus petits escargots sont placés dans des tunnels afin d'être protégés du froid.
Les escargots grandissent ainsi pendant 6 mois, puis sont transformés en savoureux plats cuisinés, en soupe, en court bouillon...
Tous les joursà la ferme,Jean Marc et Sandrine Bonvalottransforment dans leur fromagerie leur lait en fromage (frais, demi-sec, épicés...), obtenant ainsi des fromages très onctueux et crémeux.
Visites commentées avec dégustation de fromages de chèvre à 17h du mardi au samedi de juin à août
Tarifs : • 3 € par adulte -• 2,50 € par enfant ( de 5 à 16 ans ) Jean-Marc Bonvalot avait envisagé de se lancer dans l’élevage du lapin. Mais il a finalement choisi l’escargot !
L’association Kokopelli, le plus important conservatoire français de variétés anciennes de fleurs, de céréales et de légumes accessibles à tous, est menacée par les semenciers français et par Bruxelles.
L’association Kokopelli forte de 5 500 membres qui se consacrent depuis treize ans à la préservation et à la diffusion de semences anciennes et menacées de disparition, est engagée dans un bras de fer.Après s’être pourvus en cassation, ils iront jusqu’à la Cour européenne de justice s’il le faut.
Depuis la création en 2003 du Réseau Semences Paysanne par la Confédération Paysanne et Nature et Progrès, face aux lobbies des semenciers et industriels de l’agro chimie, nous prêchions presque dans le désert. 10 années après, les temps ont changés et de plus en plus de citoyens du monde ont pris ce combat très au sérieux. Qu’ils soient paysans, jardiniers amateurs ou tout simplement mangeurs, des associations se créent régulièrement de par le monde, du nord au sud et de l’est à l’ouest. Ce combat n’est plus seulement mené par les pays en voie de développement qui se voient piller leurs ressources semencière de fermes et régionales par l’industrie, c’est aussi devenu un cheval de bataille des pays industrialisés. En effet, notre alimentation débute par la production et la conservation de semences adaptées à chaque région du globe. Le holdup qu’essaye d’effectuer les centres de recherches d’état et privés est devenu un enjeu vital pour l’avenir de l’humanité. Dernièrement il s’est tenu une grande manifestation à Bruxelles réunissant un grand nombre de personnes sensibles à ce sujet. De plus en plus de bourses d’échange de semences sont organisées de par le monde. Ce documentaire vous permettra de découvrir pour certains quels sont les enjeux et l’épée de Damoclès qui pèse sur les agricultures vivrières de la majeure partie des pays. Le droit de ressemer sa propre semence date de plusieurs centaines d’années et nous devons tout faire pour le conserver. Alors prenez une demi-heure de votre temps pour visionner ce reportage et n’hésitez pas à en parler autour de vous et à participer à la défense mondiale de la biodiversité cultivée et sauvage.
Petit historique de la traction animale par G . VAUDRAY
La traction animale existe depuis fort longtemps.
L’homme a utilisé l’animal dans ses tâches difficiles peu de temps
après avoir commencé à l'apprivoiser.
Puis a élevé des animaux au départ pour se nourrir et éviter d’être dépendant de la chasse et de la présence de grands troupeaux.
L’utilisation de la force animal commence par le plus petit,
le chien jusqu’au plus gros l’éléphant.
Au milieu, on rencontre le mulet, l’âne, les vaches et les bœufs, le dromadaire et le cheval.....
GABRIEL VAUDRAY est aussi président pour la Côte d’Or de
NATURE ET PROGRES
Fédération Internationale d’agriculture biologique Une agriculture biologique, écologique, équitable et durable dans la biodiversité Des consommateurs engagés pour un environnement de qualité. Un monde sans OGM, sans OMC et sans AGCS Dans un réseau alternatif et solidaire.
Après la décision de la Commission européenne d’autoriser la culture d’une pomme de terre transgénique, les réactions n’ont pas manqué. Principe de précaution, craintes des OGM, intérêt économique et recherche stratégique se mêlent, 12 ans après la dernière autorisation d’un OGM en Europe. BASF, son créateur assure qu’Amflora ne servira pas à l’alimentation humaine, mais la présence d’un gène de résistance aux antibiotiques attise les inquiétudes… Retour sur une pomme (de terre) de discorde.
Le 2 mars, la Commission européenne autorisait la culture de la pomme de terre transgénique Amflora à destination de l’industrie et de l’alimentation animale. Actuellement, trois Etats (Belgique, Italie et Autriche) ont fait part de leuroppositionà cette culture. La France, quant à elle, réserve son jugement en attente de l’avis de son Haut Conseil des Biotechnologies.
L’Efsa a notamment jugé que «lors de l’utilisation de plantes génétiquement modifiées (GM), il est peu probable que le transfert des deux gènes marqueurs de résistance aux antibiotiquesnptIIetaadAà partir de plantes GM vers des bactéries engendre des effets indésirables sur la santé humaine et sur l’environnement.
Les scientifiques ont en outre «conclu que les gènes de résistance aux antibiotiquesnptIIetaadAsont présents à des fréquences diverses dans différentes espèces ou souches de bactéries, et dans différents environnements».
La France, qui a marqué par le passé sa prudence vis-à-vis des OGM, a décidé de saisir son Haut Conseil des Biotechnologies (HCB) avant d’arrêter sa position. Elle souhaite cependant «qu’il n’y ait plus d’autorisation d’OGM sans le renforcement de l’expertise scientifique communautaire, en application des conclusions adoptées à l’unanimité par les Etats membres lors du Conseil européen des ministres de l’Environnement du 4 décembre 2008». Cet amidon existe sous deux formes, l’amylopectineet l’amylose. Cet amidon rendrait le papier plus brillant, les textiles et le béton plus résistants aux outrages dutemps.
L’intérêt d’Amflora est de produire presque exclusivement cette amylopectine, et ce en grande quantité. Son utilisation élimine donc l’étape de séparation des deux sortes d’amidon, une opération consommatrice d’eau, d’énergie et d’argent.
Le gène marqueur de résistance aux antibiotiques
La pomme de terre OGM de BASF contient un gène de résistance aux antibiotiques. Pour s’assurer ensuite que l’insertion s’est bien déroulée et pour éliminer les organismes défectueux, on associe au gène ajouté un autre gène, dit marqueur, conférant une propriété qu'il sera facile de repérer. Ainsi, il suffit d’exposer les plants obtenus à un antibiotique pour ne conserver que ceux qui possèdent le nouveau gène et qui sont donc devenus résistants.
Pour certains, cette méthode ne se justifie pas, notamment parce qu’il existe des alternatives pour produire de l’amylopectine à but industriel.
Une centaine d'arboriculteurs du sud de la France, essentiellement de la Drôme, ont entamé une procédure judiciaire contre l'Inra, l'accusant d'avoir malencontreusement contaminé leurs vergers avec levirus de lasharka, a-t-on appris vendredi 19 02.2010 auprès de l'avocat des arboriculteurs.
La maladie de la sharka, causée par un virus, le Plum pox virus, affecte des espèces fruitières du genre Prunus, comme les pêchers, les nectariniers, les pruniers ou les abricotiers, dans la plupart des pays producteurs en Europe et dans le monde. Cette maladie, incurable, altère la qualité des fruits des arbres contaminés, jusqu’à les rendre impropres à la consommation. Si elle ne présente aucun danger pour la santé humaine, elle compromet l’activité des pépiniéristes, des arboriculteurs et la pérennité des filières de production fruitière
Le virus sharka a touché 71 exploitations agricoles dans le Gard et a ravagé les vergers de Manduel et Bellegarde bordant les vergers de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra).
La maladie de la sharka, plus connue sous le nom de "variole du prunier" est apparue en 1915 en Bulgarie et affecte les arbres fruitiers
à noyaux du genre Prunus : pêcher, abricotier, prunier. Elle est considérée comme la plus grave en termes d'impacts économique et agronomique chez ces espèces fruitières. Ces fruits déformés et pauvres en sucres ne sont pas commercialisables.
Faute de traitement, cette maladie virale induit des épidémies rapides au sein des vergers, la seule solution étant l’arrachage et la destruction par le feu des arbres contaminés.
Parmi les différentes régions touchées en France, Rhône-Alpes l’est particulièrement, et, notamment, en son sein,
la Drôme et la région valentinoise.
"Plusieurs filières de contamination par la sharka, internes à l'Inra, ont été mises en évidence par les experts judiciaires, l'existence de ces filières ayant toujours été niée par l'Inra", a affirmé Me Tumerelle, qui représente une centaine de producteurs de la Drôme, du Gard et des Bouches-du-Rhône.
Pour l'avocat de l'Inra, Me Alain Monod, en revanche, "on sait maintenant qu'il y a eu d'autres facteurs, notamment via des plants achetés par des arboriculteurs dans des conditions douteuses".