750 grammes
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  • : Les gens que j'aime se retrouveront sur ce petit blog. Pardon pour ceux qui n'y sontpas encore .
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Ne faîtes pas aux truies ce que vous ne voulez pas qu’on vous fît.
Lépicurien vous a transportés à Rome en compagnie de Trimalcion. Si les Gaulois avaient un faible pour les sangliers, selon Astérix, les Romains préféraient le cochon. Et sur les tables les plus raffinées de Rome, un met de choix était régulièrement servi. C’est la vulve de truie farcie. Pline dans son Histoire Naturelle rapporte qu’il préfère celles prélevées sur des truies qui n’ont eu qu’une portée alors que d’autres les préfèrent lorsque la cochonne a mis bas plusieurs fois. Pour certains, seule une truie nullipare[1] peut donner du plaisir (si j’ose dire).

LE  BLOG D'OLIF

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Petit lexique de savoir-boire à l'usage des agueusiques, des geeks et des non-comprenants
Ce petit lexique de savoir boire est probablement aussi superflu qu'un dictionnaire destiné à l'élite et aux bien nantis.Mais il ravira sans aucun doute tous ceux qui ont perdu l'usage de leurs papilles ou de leur cerveau, ainsi que ceux qui suivent, de près ou de loin, les gesticulations du petit monde du vin sur l'internet. Les costumes sont en tweed et les décors sont de Roger Hart Desproges (les photos ont été prises lors de sa tournée d'adieu).

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Trois champions français de l’huile de noix récompensés au Concours général agricole 2012

Les noyers constituent le second verger de France après les pommiers Le palmarès du Concours général agricole livre ces jours ci,  ses dernières cuvées de produits médaillés. Entre tous les piments d’Espelette, les vins, les huiles d’olive, les vanilles, les cidres, les bières, les huîtres… que vous retrouverez cités sur le site du concours, je ne résiste pas à l’envie de mentionner les huiles de noix.

Noix et huile de noix du Périgord ont une appellation d'origine contrôlée 

Promue par David Servan Schreiber dans son livre Guérir.

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WIKIO

26 avril 2013 5 26 /04 /avril /2013 13:31



Les Murailles 5
CH-2037 Montezillon / Neuchâtel (Suisse)
Tél. depuis la France  : 00 41 32 732 22 11


C’est Bon, beau et c’est biodynamique !


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Ouvert 7 jours sur 7    site de l'AUBIER

La ferme de L'AUBIER " comprend une surface agricole de 35 ha.

Les terres vont de Montezillon à 750m d'altitude jusqu'à La Tourne

à 1200m.

La surface fourragère comprend toutes les formes

de production de la planche verte intensive

à la prairie maigre de montagne.
Les cultures principales de la rotation sont le blé, le seigle,

la pomme de terre, le maïs, le trèfle et la luzerne.

La stabulation libre est au coeur de la ferme. Le troupeau de

vaches laitières compte 24 têtes de la race tachetée rouge

et blanche. Le taureau accompagne librement le troupeau.
A cela s'ajoute tout un monde de génisses et de veaux, et

même un groupe de cochons.
Tous les animaux ont un accès à l'air libre toute l'année et

chacun peut leur rendre visite lors d'un tour à la ferme.

La ferme est exploitée depuis les débuts de L'AUBIER en

automne 1979 selon les directives de l'agriculture bio-dynamique.

Tout achat d'engrais, de pesticide ou de complément alimentaire

est exclu. Par contre, les préparations bio-dynamiques faites à

la ferme sont régulièrement appliquées pour accroître la vie du

sol et renforcer les plantes.

Le lait est transformé artisanalement sur place dans la

fromagerie qui se trouve directement à la ferme. Six sortes

de fromages y sont produits. Depuis la salle de traite le lait

coule directement dans la cuve de fabrication.

Le fromager oeuvre, pour que chaque jour le lait frais soit

transformé en une spécialité de fromage. Nos fromages sont l'expression de la qualité Demeter
dans les champs, à l'étable et à la fromagerie. Ils sont disponibles dans beaucoup de magasins bio en Suisse. A Montezillon, ils sont également très présent au magasin et au restaurant.
En plus des fromages, toute une palette de produits voient aussi

le jour dans notre fromagerie:yogourt, séré, crème et lait entier

en bouteille. Tous sont vendus dans notre magasin.

La sorte de blé "Aszita" a été sélectionnée par Peter Kunz

sur nos terres. Il s'agit d'une sorte
moderne spécialement adaptée à l'agriculture biologique avec

une très haute qualité panifiable.
Après chaque récolte, ce blé est stocké à la ferme,

moulu en farine et quotidiennement cuit en pain à la cuisine du restaurant selon une recette maison.

La viande de la ferme forme la base de l'offre du restaurant. La ferme couvre l'ensemble des besoins en boeuf, veau et porc. Les animaux sont menés à l'abattoir du village à seulement
5 min de route, et déjà quelques jours après, la viande est

de retour, prête à être servie.

La ferme et ses produits sont certifiés par : Demeter,
Bio-Suisse et
Freiland-KAG.

 

 

  Bons produits, bon service, accueil sympatique ! 

Le restaurant propose une cuisine préparés avec les meilleures ingrédients biodynamiques ou biologiques de la ferme, et du marché.
Tout cela avec la vue sur le lac et les Alpes !
La cuisine est certifié avec les labels Demeter, Bourgeon et Goût-Mieux.

Tous les jours de la semaine un menu entre 17 et 22 Francs Suisse en plus de la carte  
Le café bio-dynamique, venant du Mexique est torréfié au 
Café-Hôtel l'AUBIER
Rue du Château 1
CH-2000 Neuchâtel


L'ECO HOTEL

     


P
op Corn, Grande Ourse, Sirop d'érable, Clémentine, des noms de chambres qui annoncent une atmosphère personnalisée, et un très bon confort , une très belle vue, et font profiter de magnifiques extérieurs fleuris et verdoyants, avec sortie directe dans le jardin, balcon ou fenêtre mansardée selon l'étage. Bain/douche et WC dans chaque chambre.

 

Une vue du lac en arrivant à l'AUBIER
Plan de situation



 

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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 16:33

 

Route de Seurre - 21910 Saulon-la-Rue

Tel + 33 (0) 3.80.79.25.25
Fax + 33 (0) 3.80.79.25.26

A cinq minutes de Dijon, une adresse a redécouvrir !

saulon-3.JPG Capture.JPG

 

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17042009351--Copier-.jpg

Frédéric FABRE responsable de la restaurantion  

 

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 18:30

 

fraises-1.JPG

D'ici à la mi‐juin, la France aura importé d'Espagne plus de 83 000 tonnes de fraises. Enfin, si on peut appeler «fraises» ces gros trucs rouges, encore verts près de la queue car cueillis avant d'être mûrs, et ressemblant à des tomates. Avec d'ailleurs à peu près le goût des tomates. Si le seul problème posé par ces fruits était leur fadeur, après tout, seuls les consommateurs piégés pourraient se plaindre d'avoir acheté un produit qui se brade actuellement entre deux et trois euros le kilo sur les marchés et dans les grandes surfaces, après avoir parcouru 1 500 km en camion. À dix tonnes en moyenne par véhicule, ils sont 16 000 par an à faire un parcours valant son pesant de fraises en CO2 et autres gaz d'échappement. Car la quasi‐totalité de ces fruits poussent dans le sud de l'Andalousie, sur les limites du parc national de Doñana, près du delta du Guadalquivir, l'une des plus fabuleuses réserves d'oiseaux migrateurs et nicheurs d'Europe. 

Il aura fallu qu'une équipe d'enquêteurs du WWF‐France s'intéresse à la marée montante de cette fraise hors saison pour que  soit révélée l'aberration écologique de cette production qui étouffe la fraise française (dont une partie, d'ailleurs, ne pousse pas dans de meilleures conditions écologiques). Ce qu'ont découvert les envoyés spéciaux du WWF, et que confirment les écologistes espagnols, illustre la mondialisation bon marché. Cette agriculture couvre près de six mille hectares, dont une bonne centaine empiète déjà en toute illégalité (tolérée) sur le parc national. Officiellement, 60% de ces cultures seulement sont autorisées; les autres sont des extensions «sauvages» sur lesquelles le pouvoir régional ferme les yeux en dépit des protestations des écologistes.

  Les fraisiers destinés à cette production, bien qu'il s'agisse d'une plante vivace productive plusieurs années, sont détruits chaque année. Pour donner des fraises hors saison, les plants produits in  vitro sont placés en plein été dans des frigos qui simulent l'hiver, pour avancer leur production. À l'automne, la terre sableuse est nettoyée et stérilisée, et la microfaune détruite avec du bromure de méthyl et  de la chloropicrine. Le premier est un poison violent interdit par le protocole de Montréal sur les gaz attaquant la couche d'ozone, signé en 1987 (dernier délai en 2005); le second, composé de chlore et d'ammoniaque, est aussi un poison dangereux: il bloque les alvéoles pulmonaires.

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Qui s'en soucie? La plupart des producteurs de fraises andalouses  emploient une main-d’œuvre marocaine, des saisonniers ou des sans‐papiers sous‐payés et logés dans des conditions précaires, qui se réchauffent le soir en brûlant les résidus des serres en plastique recouvrant les fraisiers au cœur de l'hiver. Un écologiste de la région raconte l'explosion de maladies pulmonaires et d'affections de la peau. Les plants poussent sur un plastique noir et reçoivent une irrigation qui transporte des engrais, des pesticides et des fongicides. Les cultures sont alimentées en eau par des forages dont la moitié ont été installés de façon illégale. Ce qui transforme en savane sèche une partie de cette région d'Andalousie, entraîne l'exode des oiseaux migrateurs et la disparition des derniers lynx pardel, petits carnivores dont il ne reste plus qu'une trentaine dans la région, leur seule nourriture, les lapins, étant en voie de disparition. Comme la forêt, dont 2 000 hectares ont été rasés pour faire place aux fraisiers. La saison est terminée au début du mois de juin. Les cinq mille tonnes de plastique sont soit emportées par le vent, soit enfouies n'importe où, soit brûlées sur place. Et les ouvriers agricoles  sont priés de retourner chez eux ou de s'exiler ailleurs en Espagne. Remarquez: ils ont le droit de se faire soigner à leurs frais au cas ou les produits nocifs qu'ils ont respiré... La production et l'exportation de la fraise espagnole, l'essentiel étant vendu dès avant la fin de l'hiver et jusqu'en avril, représente ce qu'il y a de moins durable comme agriculture, et bouleverse ce qui demeure dans l'esprit du public comme notion de saison. Quand la région sera ravagée et la production trop onéreuse, elle sera transférée au Maroc, où les industriels espagnols de la fraise commencent à s'installer. Avant de venir de Chine, d'où sont déjà importées des pommes  encore plus traitées que les pommes françaises... 

PAR Claude‐Marie Vadrot.

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 11:02

 

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Mon œuf de Pâques ou plutôt mon œuf du vendredi saint. Comme le pratiquait ma tante depuis que je suis né et même avant. Comme le faisait ma grand-mère, je conserve chaque année un œuf pondu par une de mes poules le jour du vendredi saint. Je l'emballe dans du papier journal et l'oublie durant un an dans le fond du tiroir du mon bureau. Un an après jour pour jour je le casse. Et qu'est ce je découvre ? Un œuf sain que je pourrais manger en omelette ou plat.

Mais qu'elle est donc cette tradition ancestrale que l'on trouve encore dans certaines fermes de nos campagnes ? Eh bien, l’œuf du vendredi saint et uniquement celui-ci, ne se dégrade pas dans le temps. Mieux il m'indique si l'année en cours sera humide, sèche ou intermédiaire. Pour 2013, mon œuf est moyen. En effet on distingue encore bien le jaune entièrement formé et le blanc pas trop liquide bien séparé du jaune. Ce sera donc une année moyenne en terme de pluviométrie. En 1976 et plus récemment en 2003, mon œuf n'avais plus que le jaune tout desséché, gros comme une balle golf. Le blanc avait entièrement disparu. Une année humide, on ne distingue plus le jaune du blanc et l'ensemble est très liquide, un ami franc-comtois, me disait que dans sa région, on faisait manger cet œuf aux enfants pour les renforcer. Une de mes sœurs qui a fait des études à Valence avait une amie fille de paysan qui pratiquait la même tradition dans le centre de la France. Nous avions comparé nos œufs de la même année et oh surprise ! ceux-ci étaient différents. Ils indiquaient donc l'année de pluie par rapport aux deux régions différentes. Je n'ai pas d'explication à vous fournir pour  ce phénomène, je peux juste vous dire, puisque nous en avons fait l'expérience, que si l’œuf est pondu un autre jour que le vendredi saint, il est punet quand l'odeur foudroyante de mercaptan parvient à traverser la coquille ni cassée ni fendue.


Bonne fête de Paques à tous !


Source: Gabriel Vaudray Président Nature et Progrès 21

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23 mars 2013 6 23 /03 /mars /2013 09:11

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Irena Sendler. Récemment décédée à 98 ans. Elle demanda pendant la 2ème guerre mondiale à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier, serrurier. Elle avait une motivation bien particulière. Elle connaissait les plans d’extermination des nazis envers les juifs, elle était allemande. Irena a caché des enfants dans le fond de sa boite à outils qu’elle transportait à l’arrière de son véhicule ainsi qu’un grand sac (pour les enfants plus grands) Elle avait aussi un chien à l’arrière qu’elle a entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlait à l’entrée et à la sortie du ghetto. Les soldats ne pouvaient rien contre le chien qui couvrit en fait le bruit que pouvait faire les enfants. Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi. Elle fut arrêtée et les nazis lui brisèrent les jambes, les bras et la torturèrent très sévèrement. Irena garda tous les noms des enfants qu’elle avait fait partir du Ghetto et garda ces noms dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre au fond de son jardin derrière sa maison. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles; mais la plupart avaient été gazés. Les enfants qui avaient été sauvés ont été placés dans des familles d’accueil ou ont été adoptés. L’année dernière elle a été proposée pour le prix Nobel de la Paix, mais n’a pas été retenue; c’est Al Gore qui fut primé pour son film sur le réchauffement de la planète. En sa mémoire 63 ans plus tard Je participe à cet anniversaire, très modestement en faisant suivre ce message. 

Même à titre posthume elle mériterait le prix Nobel de la Paix

Irena Sendler 2

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18 mars 2013 1 18 /03 /mars /2013 11:24

 

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Le potager collectif des Lentillères (Pot'Col'Le) est né d'une initiative visant à dénoncer les problèmes d'accès au foncier pour des projets paysans ou des potagers urbains et à répondre en acte à la nécessité d'une alimentation qui s'émancipe de l'agro-industrie.
Cette initiative a été menée par une dizaine d'associations dijonnaises, par un réseau national de paysans sans terres, et par 200 personnes le 28 mars. Elle a donné naissance au potager collectif des Lentillères qui s'est établi sur une partie des 6 hectares de terres laissées en friche depuis de plus de dix ans entre la rue Philipe Guignard et les anciens abattoirs. Le principe du Pot'Col'Le est simple : apprendre ensemble, produire une partie de son alimentation, partager les récoltes et être accessible à tous et toutes. Ce projet a reçu un accueil enthousiaste de nombreux habitants et habitantes du quartier et de la ville. Il serait regrettable qu'il soit aujourd'hui menacé. Menace d'autant plus paradoxale que le nouveau Plan Local d'Urbanisme se targue de préserver des terres agricoles alors qu'existent une forte demande d'accès au foncier pour des projets maraîchers, ainsi que des centaines de personnes sur les listes d'attente des AMAPs et des jardins familiaux. Ces quelques hectares ne rapporteront sans doute rien tels quels à l'industrie du BTP mais ils sont précieux pour ce qu'ils sont et pour ce qui s'y vit aujourd'hui. C'est à ce titre qu'ils devraient être préservés.
lentiere-3.jpg

Pourtant, sur le projet actuel d'"éco-quartiers", dit "des maraîchers", seule une mince bande de terre de quelques mètres de large le long de la voie ferrée serait conservée pour laisser place à des "jardins familiaux".
Cette localisation ne tient aucun compte des réalités du terrain puisqu'elle place des jardins familiaux sur les décombres des constructions passées, plutôt que sur les terres maraîchères qui se trouvent tout autour.

C'est sur cette base que nous réitérons une demande de dialogue, avec le soutien, dans cette démarche, des collectifs et associations suivantes ...  

Nature et Progrès 21, AMAP Plombières, Attac 21, Confédération Nationale du Travail 21, Confédération Paysanne 21, Association Dijon Ecolo, Faucheurs Volontaires de Côte d'Or, Collectif Food not bombs, Réseau de jardins familiaux dijonnais Grojardi, Groupe libertaire Dijon, Association Kir, Association Maloka, Potager Collectif des Lentillères, Réseau international de paysans en lutte Reclaim the fields, Espace Autogéré des Tanneries

 

 

Source : MEGAPOLE / INFOS RELAI INFOS région DIJON / BOURGOGNE IN/OFF en FAITS DE SOCIETE ET MEDIAS OFF

 


A l’initiative de Gabriel Vaudray, Président de Nature et Progrès 21,

vous pourrez  en savoir plus et signer la pétition, cliquez ci dessous:
  http://www.avaaz.org/fr/petition/Preserver_une_zone_maraichere_a_la_place_de_beton_a_Dijon//?launch

 

Voir le communiqué de presse:

Comm Presse Potager collectif des Lentillères Comm Presse Potager collectif des Lentillères  

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 13:29

Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager
les très belles photos que mes amis Anne et  Mattjanv
me font parvenir de Venise.

 
 
 
 
 
 


contact@affaire-de-gout.com
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9 mars 2013 6 09 /03 /mars /2013 17:41

 

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 10:24

 

 

 

Un choix devenu très rare. Beaunois de naissance, Dijonnais d'adoption, Jacques Volatier est devenu éleveur de porcs en plein air [...]

clikez ci dessous pour voir

 la une de DIJON SCOOPP1000955 [Résolution de l'écran]

Les Cochons à Jacques 07Hameau d'Echarnant 21360 LUSIGNY-SUR-OUCHE

 

 

 

A proximité du hameau d'Echarnant, Anne et Jacques VOLATIER élèvent 180 cochons en plein air, dans des grands parcs aménagés, permettant la visite. Les animaux sont abattus entre 9 et 12 mois, après une croissance contrôlée et non poussée, garantissant une viande de qualité.

EN BIO DEPUIS 2010

Ouvert toute l'année, le mardi et le mercredi de 15h à 19h, le vendredi ,

ou sur rendez-vous.
Egalement présent tous les
vendredi au MARCHE DE DIJON
 

 

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 12:58

 

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Philippe Léger en décidant de changer de vie, à 57 ans, Beaunois et Dijonnais depuis longtemps, ayant passé trente-deux ans dans le domaine du spectacle, il décide de se consacrer à sa première passion, le vin, et d’ouvrir depuis 2010 « La Buvette du Marché » sous les halles de Dijon. Il propose uniquement des vins de propriétaires (beaucoup en bio ou en biodynamie), des jus de fruits d’Alain Millat, des bières artisanales locales, et de la limonade artisanale »La Mortuacienne », et du café équitable, les jours de marché soit mardi, jeudi, vendredi et samedi.

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« La Buvette du Marché » propose uniquement du vin, des jus de fruits, des bières artisanales locales et du café équitable chaque jour de marché

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