Ce matin, visite chez mon ami Claude, jardinier amateur qui a récolté une pomme de terre de 1.340Kg dans son jardin.

Des comme cela il n’en faut pas beaucoup pour en faire une douzaine ! (de pommes de terre évidement )

Il est des restaurants d’où l’on sort en se disant :

« Voilà un bon restaurant j’ai envie d’y revenir «,

L’Epicurien à Courlaoux de toute évidence ne fait pas parti de ceux-là.

Cuisine brouillonne, poissons trop cuits, trop de saveurs mélangées, salade non coupée servie dans un verre (pas facile à manger) carte des vins avec beaucoup de vins de négociants.

Adresse à  éviter !!

Je suis heureux de vous présenter : Marie Pierre Chevassus Fassenet qui est à l’honneur dans le numéro Spécial Vins du magazine «  Le Point «

« On est quatre filles. Ma mère était d'une famille vigneronne et mon père était agriculteur, mais la vigne, ça lui plaisait. Ils ont commencé en  plantant 10 ares. Ils n'ont pas avancé en pensant que nous allions reprendre, mais je crois qu'ils sont satisfaits. Nous avons toutes baigné dedans. Nos parents se lançaient.

Nous, on y a passé plutôt des bons moments, c'était encourageant. Je suis la seule à avoir continué.

Mais ma sœur, qui a repris la partie agricole, aime le vin.

Une autre est dans la sommellerie. Avec son mari, ils ont un restaurant étoilé à Sampans (le Château de Mont-Joly).

La dernière s'occupe de personnes âgées, c'est la seule qui a échappé au vin. Mon premier travail a été sur les rouges, en les travaillant pour garder le fruit. On a 4 hectares et demi, dont un en château-chalon. Pour ma petite personne, cela fait déjà de quoi s'occuper. Mon mari est directeur de théâtre. Je ne pourrais pas avoir 10 hectares et ne plus toucher aux vignes, juste m'occuper de diriger une équipe. » Marie Pierre Chevassus Fassenet.

Dans cette campagne de presse je n’ai jamais entendu parler de la qualité des fruits ni des traitements

que ces fruits et ces légumes subissent.

Jamais cette campagne ne dit la vérité sur les doses massives de produits «phytosanitaires comme ils disent »

  c’est le mot employé pour ne pas dire POISON.

Entièrement d’accord avec Marise Sargis sur son blog Vin&Chère

dont voici un extrait

 On nous dit : la peau est la meilleure partie de la pomme, elle  renferme des anti oxydants, des polyphénols, des flavonoïdes et de la quercétine ; des choses très utiles pour l’organisme. Mais on ne nous dit pas qu’elle est aussi 

truffée de pesticides et qu’il ne suffit pas de la laver pour s’en débarrasser.

Hier après midi, c’était au tour de l’association nationale Pommes Poires française qui regroupe 60 % de la production française d’inviter la presse à la Faculté de médecine pour communiquer. Un lieu sérieux qui mettait la barre au plus haut. La nutritionniste très prolixe, « invitée » par les professionnels pour commenter les nombreuses études,  pendant une heure, a donc exposé d’une voix claire les bienfaits de la pomme.

un confrère a demandé des précisions pour savoir si des études avaient analysé les conséquences  de la consommation de pomme  avec la peau  alors qu’elle est chargée en pesticides sur au moins un  centimètre d’épaisseur…

- « Je suis comme vous «, a répondu la nutritionniste désarmée,

- « Il n’y a pas d’étude ! ».

Mais étude ou pas, la jugeote aurait  recommandé de dire à haute voix qu’il faut pour le moment manger des pommes  bio tout simplement.

Marise Sargis

Et dire qu’il en va de même avec tous les fruits et légumes.

Alors manger BIO au moins vous serez assurés de manger sain !

Monsieur Xavier,

Petits fruits et légumes bio de saison, Mention Nature et Progrès.

Mademoiselle Jeannette, Dijon,

qui nous fait de très bons cafés allongés